Le CETIM continue ses efforts de plaidoyer et de promotion du droit au développement, un droit essentiel dans la lutte pour la justice sociale et la souveraineté des peuples, ainsi que dans la perspective de construction d’un ordre international équitable, démocratique et solidaire. Ces efforts se poursuivent tant dans l’enceinte de l’ONU que sur le terrain.
Dernièrement, le CETIM s’est penché sur l’analyse des questions monétaire, à l’aune du droit au développement.
Le rôle de la souveraineté monétaire dans la réalisation du droit au développement
Dans le cadre de la 51e session du Conseil des droits de l’homme de l’ONU, le CETIM a soumis une déclaration écrite et une déclaration orale traitant de l’articulation entre souveraineté monétaire et droit au développement.
En effet, la maîtrise par les États, au nom de leurs peuples, de la monnaie et des mécanismes financiers a un impact crucial sur les politiques et programmes de développement national. Ainsi que sur le droit des peuples à décider de leur avenir. Et par conséquent pour la jouissance de tous les droits humains.
Sur ce même sujet, un article intitulé « Pour une monnaie au service des peuples » de Rémy Herrera, économiste au CNRS et collaborateur du CETIM, a été publié sur le site de la Fondation Rosa Luxembourg.