Ce livre aborde frontalement le système néolibéral en tant que responsable historico-politique des crimes contre les populations précarisées, les peuples colonisés et les écosystèmes. Il questionne le modèle néolibéral post-crise sanitaire présenté comme plus durable, plus humain, plus inclusif et plus vert : ce modèle est-il acceptable pour les mouvements sociaux ?