Le CETIM, en collaboration avec l’Association internationale de juristes démocrates (AIJD), le Transnational Institute (TNI), la Confédération syndicale mondiale (CSM), les Amis de la terre international et FIAN International, est intervenu à l’ONU pour dénoncer les violations et les irrégularités commises par le gouvernement brésilien.
Dans le cadre de la 37e session du Conseil des droits de l’homme, le CETIM a fait une déclaration en plénière appelant le gouvernement brésilien à faire cesser les violations des droits humains commises dans le pays depuis le coup d’Etat de 2016. Le CETIM a souligné que le Brésil est tenu de respecter ses obligations internationales et nationales en matière de droits humains. En ce sens, il est tenu d’abroger toutes les lois et conduites qui violent la Constitution, le droit international des droits de l’homme et les droits fondamentaux du peuple brésilien.
La déclaration a été coparrainée par 20 autres organisations de la société civile.
Pour voir Raffaele Morgantini du CETIM faire la déclaration à l’ONU, cliquez ici.
Pour lire la déclaration en anglais, cliquez là.
Notre déclaration a été reprise par de nombreux médias et sites d’information. Nous vous en donnons ici quelques exemples.
https://jornalistaslivres.org/2018/03/brasil-e-denunciado-no-conselho-de-direitos-humanos-da-onu/
http://www.pt.org.br/golpe-desmonte-de-direitos-e-perseguicao-contra-lula-denunciados-na-onu/