Le travail contribue à la formation des individus. Il est également nécessaire à tout un chacun pour subvenir à ses besoins ainsi qu’à ceux de sa famille, nouer ou maintenir des liens sociaux et remplir ses devoirs envers la société. Cependant, de nos jours, le travail est devenu pour des centaines de millions de personnes une denrée rare ou une souffrance, voire un danger pour ceux qui ont «la chance» d’avoir un emploi. Pire, des millions de personnes travaillent dans des conditions comparables à de l’esclavage.
Lire la suite dans La Tribune de Genève “Le travail, servitude ou épanouissement?” par Melik Özden