Le CETIM défend des victimes de violations de droits humains commises par les STN dans les pays du Sud. Il soutient leurs représentant.es pour accéder aux mécanismes de protection de l’ONU et obtenir leur intervention.
Différents mécanismes peuvent être activés à l’ONU pour obtenir des améliorations concrètes sur le terrain, en particulier
Le CETIM travaille principalement avec des
- organisations paysannes
- syndicats
- organisations représentants des victimes
- communautés affectées par les opérations de sociétés transnationales.
Anglo Gold Ashanti cherche à démarrer un projet d’exploitation minière dans des territoires ancestraux des communautés afrodescendantes de La Toma, dans le Cauca en Colombie. Ces communautés s’opposent à ce projet qui menace l’environnement, leurs conditions de vie et possibilités de subsistance. Elles sont victimes de multiples violations des droits humains. La Cour constitutionnelle leur a donné raison mais le gouvernement colombien n’applique pas cette décision, bien au contraire.
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En 60 ans d’exploitation pétrolière dans le Delta du Niger, les communautés locales n’ont pas connu le repos. Shell a systématiquement violé les droits humains et détruit l’environnement ainsi que les conditions de vie des communautés mais ni les campagnes internationales ni les lois, les agences de régulation et les tribunaux nationaux n’ont été capables de mettre fin à ces pratiques.
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Avec: M. Pablo Fajardo avocat des victimes de Chevron en Équateur Donald Moncayo association des victimes de Chevron en Équateur mardi 4 mars à 20h UniMail, salle MR 280 Genève mercredi 5 mars à 20h Buffet de la Gare, salle des Vignerons LausanneEn novembre, la plus haute instance juridique d’Équateur a confirmé en appel […]
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En juillet 2012, des dizaines de travailleurs de l’usine de Manesar de l’entreprise automobile Maruti Suzuki India Limited (MSIL) – située dans l’État du Haryana dans le nord de l’Inde – ont été licenciés et détenus sans inculpation. Leur faute ? Avoir exercé leur droit d’association et affiliation à un syndicat de leur choix. La raison ? Les droits des travailleurs et les droits syndicaux, dont le droit à la liberté d’association, le droit à la négociation collective et le droit à un salaire égal pour un travail égal, ne sont pas respectés par la direction de MSIL. Suite à une émeute, la police a arrêté plus d’une centaine de travailleurs, qui restent détenus jusqu’à aujourd’hui. Sous prétexte de la violence et de l’incendie provoqué lors de cette émeute, l’entreprise a réprimé le syndicat et a licencié plus de deux milles travailleurs. Une enquête indépendante s’impose pour éclairer la situation en termes de droits humains, ainsi que le comportement de la police dans l’affaire.
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avec Miriam Miranda (Honduras) Patricia Gualinga (Équateur) Hermelinda Simón (Guatemala) Bettina Cruz (Mexique) Mercredi 4 décembre 2013 à 19h00 Espace Solidaire Pâquis, Temple des Pâquis Genève Compte rendu de la conférence et photos
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