Vous trouvez ici le catalogue des livres édités par le CETIM depuis sa fondation, en 1970.
Nos collections:
Collection PubliCetim. Des livres publiés par le CETIM ou collectifs dans un format poche. Souveraineté alimentaire, droit international, relations Nord/Sud, luttes pour l’émancipation des peuples et leur histoire, questions des migrations, environnement, modes de transformation de nos sociétés, sociétés transnationales…
Collection Pensées d’hier pour demain. Propose au public, jeune en particulier, de courts recueils de textes d’acteur.trices qui ont été au coeur de la lutte des peuples pour l’émancipation.
Collection Hors-série. Livres publiés en co-édition avec des organisations partenaires ou ne rentrant pas dans le format poche de la collection PubliCetim.
Des exemplaires imprimés des livres des 3 collections sont disponibles dans la mesure des stocks disponibles.
– pages
“Comme tout individu et tout mouvement social, la Révolution iranienne a son propre langage et son propre système de référence. Il est impossible de comprendre ce qu’elle dit et ce qu’elle fait, si l’on ne connaît ni son langage ni les valeurs dont elle s’inspire et sur lesquels elle se fonde”. Ainsi débute le livre “Iran: Islam et luttes d’émancipation nationale” paru aux Editions du CETIM en 1980, mais toujours d’une grande actualité à la lumière des récents événements en Iran.
Chahrokh Vaziri
1980 – pages
“Comme tout individu et tout mouvement social, la Révolution iranienne a son propre langage et son propre système de référence. Il est impossible de comprendre ce qu’elle dit et ce qu’elle fait, si l’on ne connaît ni son langage ni les valeurs dont elle s’inspire et sur lesquels elle se fonde”. Ainsi débute le livre “Iran: Islam et luttes d’émancipation nationale” paru aux Editions du CETIM en 1980, mais toujours d’une grande actualité à la lumière des récents événements en Iran.
Daniel Perren
1979 – pages
Le grand calme semble s’être réinstallé dans les rapports entre monde sous-développé et Occident industriel. Pas la normalité, non. Ou alors celle qui voit la persistance d’un échange inégal entre matières premières et produits manufacturés, entre main-d’œuvre bon marché et technologie onéreuse ; normalité de l’anarchie qui voit l’accentuation de la pénétration des multinationales dans le Tiers Monde. Normalité encore de l’impérialisme à l’œuvre partout pour maintenir en place des régimes parmi d’autres : celui de la France, relayée pour les basses œuvres par la police marocaine et les paras belges, qui portent à bout de bras le régime Mobutu, alors même que celui-ci met littéralement à sac son pays en pleine décomposition. Mais qu’importe la destruction du Zaïre si l’on peut piller son cuivre, son manganèse et son cobalt.
– pages
Novembre 1974. La presse relate l’acquittement de Brown-Boveri lors d’un procès intenté contre elle au Brésil. La preuve n’a pu être établie, au regard du droit en vigueur, que la multinationale suisse s’est livrée à des pratiques commerciales illicites, en particulier la vente au-dessous du prix de revient (dumping) et sa participation à un cartel mondial de l’électricité. Le procès fut intenté sur plainte de la firme CODIMA S.A., une entreprise brésilienne du secteur de l’électricité. Cette dernière, poussée au bord de la faillite, accusa BBC de pratiques commerciales contraires à la loi. Dans les pages qui suivent, nous allons examiner ces accusations, les faits auxquelles elles se rapportent et le contexte général dans lequel elles ont été portées. Nous verrons notamment que l’impuissance d’un tribunal n’implique pas, et de loin, l’innocence de l’accusé. Commandez le e-book en format epub. Il sera téléchargé dans votre panier d’achat une fois le paiement effectué et il vous suffira de la transférer sur votre liseuse (la plupart lisent ce format)
CETIM
1978 – pages
Novembre 1974. La presse relate l’acquittement de Brown-Boveri lors d’un procès intenté contre elle au Brésil. La preuve n’a pu être établie, au regard du droit en vigueur, que la multinationale suisse s’est livrée à des pratiques commerciales illicites, en particulier la vente au-dessous du prix de revient (dumping) et sa participation à un cartel mondial de l’électricité. Le procès fut intenté sur plainte de la firme CODIMA S.A., une entreprise brésilienne du secteur de l’électricité. Cette dernière, poussée au bord de la faillite, accusa BBC de pratiques commerciales contraires à la loi. Dans les pages qui suivent, nous allons examiner ces accusations, les faits auxquelles elles se rapportent et le contexte général dans lequel elles ont été portées. Nous verrons notamment que l’impuissance d’un tribunal n’implique pas, et de loin, l’innocence de l’accusé. Vous pouvez télécharger gratuitement le PDF du livre en cliquant sur ce lien
Alexandre KIRBY
1976 – pages
– pages
La politique suisse de coopération avec le Tiers Monde est depuis longtemps au centre d’un débat dont le manque de clarté tient au fait que les mêmes mots recouvrent des réalités différentes. Les milieux d’extrême-droite (action nationale et républicains) s’en prennent volontiers à cette coopération, surtout lorsqu’elle est multilatérale, sans pour autant s’opposer à l’aide humanitaire ou à l’envoi d’experts suisses dans les pays sous-développés. De leur côté, les milieux de l’économie privée sont convaincus qu’il faut « aider le Tiers Monde », mais cela signifie surtout, dans leur perspective, industrialiser les pays qui « ont fait l’effort » de créer des infrastructures directement utilisables par l’investisseur, et accorder une aide financière à ceux qui importent des biens suisses. Les organisations de coopération (qu’on appelait autrefois « les œuvres d’entraide ») conçoivent, pour leur part, assez généralement l’aide au développement comme une série de projets dont la réalisation entraînerait une amélioration graduelle dans les conditions de vie des populations concernées. Enfin, certains milieux politiques progressistes sont très critiques à l’égard des pratiques actuelles en matière d’aide, allant parfois jusqu’à remettre en cause le principe même de la coopération. Commandez le e-book en format epub. Il sera téléchargé dans votre panier d’achat une fois le paiement effectué et il vous suffira de la transférer sur votre liseuse (la plupart lisent ce format)
CETIM
1975 – pages
La politique suisse de coopération avec le Tiers Monde est depuis longtemps au centre d’un débat dont le manque de clarté tient au fait que les mêmes mots recouvrent des réalités différentes. Les milieux d’extrême-droite (action nationale et républicains) s’en prennent volontiers à cette coopération, surtout lorsqu’elle est multilatérale, sans pour autant s’opposer à l’aide humanitaire ou à l’envoi d’experts suisses dans les pays sous-développés. De leur côté, les milieux de l’économie privée sont convaincus qu’il faut « aider le Tiers Monde », mais cela signifie surtout, dans leur perspective, industrialiser les pays qui « ont fait l’effort » de créer des infrastructures directement utilisables par l’investisseur, et accorder une aide financière à ceux qui importent des biens suisses. Les organisations de coopération (qu’on appelait autrefois « les œuvres d’entraide ») conçoivent, pour leur part, assez généralement l’aide au développement comme une série de projets dont la réalisation entraînerait une amélioration graduelle dans les conditions de vie des populations concernées. Enfin, certains milieux politiques progressistes sont très critiques à l’égard des pratiques actuelles en matière d’aide, allant parfois jusqu’à remettre en cause le principe même de la coopération.
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