Dans les pages qui suivent, vous trouvez les déclarations en français du CETIM à l’ONU sur le thème des droits des paysan·nes
La reconnaissance et la protection des cultures autochtones ne peuvent se concevoir sans la reconnaissance du droit à la terre et à la réappropriation par ces peuples de leurs bases matérielles et économiques. Dans le cas de la Colombie, le processus de mondialisation imposé à travers le modèle néolibéral met en danger la vie et la culture propre de ces peuples en restreignant leur droit à la terre pour donner priorité aux intérêts économiques, particulièrement ceux des sociétés transnationales. Le CETIM demande que soit respecté le droit à la terre et que des solutions alternatives puissent voir le jour, à l’initiative des groupements indigènes.
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Malgré les Accords de San Andrès entre les Zapatistes et le gouvernement mexicain, la situation des peuples autochtones du Chiapas a peu changé. Ces derniers sont continuellement victimes de campagnes d’harcèlement de la part des autorités fédérales qui ne respectent pas ces accords. Les peuples autochtones du Mexique réclament entre autre : le respect des accords de San Andrès et le droit à l’autodétermination; le retrait de l’armée des régions indigènes et encore l’annulation de tous les mégaprojets entrepris par le gouvernement et les société transnationales.
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Il est nécessaire que la Commission et la Sous-commission des droits de l’homme se penchent sérieusement sur la question des droits fondamentaux du peuple kurde. La Turquie doit absolument recevoir le Rapporteur spécial sur les exécutions extrajudiciaires, sommaires ou arbitraires, le représentant spécial du Secrétaire général sur les personnes déplacées.
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Le CETIM proteste contre la mise en oeuvre du chantier d’une nouvelle colonie israélienne, Har Homa, à Jérusalem-Est. Ce nouveau projet israélien fait partie d’une politique générale de spoliation et de musellement de la population palestinienne. Rôle des Nations Unies.
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Depuis la Déclaration de principe de Washington (1993), la politique israélienne à Jérusalem est constituée de 4 axes principaux : la planification urbaine et les expropriations; l’assignation à résidence et la réunification des familles; le bouclage de la ville et finalement la transformation des institutions nationales. Ces différentes mesures visent à engendrer une situation irréversible par la “dépalestinisation” de la ville de Jérusalem. Différentes exigences doivent être immédiatement satisfaites.
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