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Les livres hors-série du CETIM sont les ouvrages publiés en co-édition avec des organisations partenaires ou des livres ne rentrant pas dans le format poche de la collection PubliCetim.
Pensez également à aller faire un tour sur les pages de nos deux autres collections :
Eric Toussaint
2006 – 305 pages
Cet ouvrage effectue une plongée dans les coulisses de la géopolitique et de la finance internationale. Contrairement à une idée reçue, la Banque mondiale n’a pas pour mission de réduire la pauvreté. Au lieu de la combattre, elle la reproduit. La Banque mondiale et son jumeau le FMI sont des instruments de subordination des pays endettés aux intérêts des puissances les plus industrialisées.
Co-édition CETIM et CADTM
2006 – 96 pages
Ce petit guide veut servir dʼappui à de telles entreprises et d’instrument dʼéducation populaire destiné aux mouvements sociaux, réseaux citoyens, parlementaires, juristes, économistes et autres révolté·e·s.
Samir AMIN, Robert CHARVIN, Jean ZIEGLER, Anne-Cécile ROBERT et al.
2005 – 432 pages
Le monde se porterait-il mieux sans l’ONU ? Les Nations unies ne sont-elles pas aussi une tribune pour tous les pays et où peuvent s’exprimer des voix discordantes ? Et n’est-elle pas plus ? Quelles convergences entre les aspirations des mouvements sociaux et les droits stipulés par l’ONU ? En quoi l’ONU peut-elle devenir une alliée dans les luttes locales et inversement ? Le CETIM a rassemblé divers regards militants sur l’ONU pour lancer un débat tourné vers l’action et le changement.
Eric Toussaint
2004 – 638 pages
Eric Toussaint est le directeur du Comité pour l’annulation de la dette du tiers monde (CADTM). Dans La Finance contre les Peuples, il passe au crible de la critique la logique de la mondialisation néolibérale et ses funestes effets pour les peuples du Sud et du Nord, dans un langage clair et accessible à tous.
Philippe Sauvin
2004 – 64 pages
“Grâce [à ce] livre, un monde de l’ombre, un monde invisible dans nos sociétés et pourtant bien présent apparaît en pleine lumière : femmes prostituées, femmes de ménage du personnel diplomatique des institutions internationales, travailleurs de l’hôtellerie-restauration où la « filière Asie » occupe une place prépondérante, jeunes filles et femmes travaillant dans le cadre dit familial élargi de l’immigration traditionnelle, vendeurs, musiciens de rue, travailleurs précaires du bâtiments que l’on appelle «prestataires de service», travailleurs clandestins, c’est-à-dire sans statut légal, requérant d’asile contraints d’exécuter des travaux dits « d’intérêt public », personnes au chômage contraintes d’accepter un travail dit « convenable ».” Marie-Claire Caloz-Tschopp
Marta HARNECKER
2003 – 256 pages
Journaliste, chercheuse et militante très connue en Amérique latine, Marta Harnecker a produit ce livre après un intense travail de terrain. Elle a arpenté les « champs de la bataille », visitant les acampamentos (campements), les assentamentos (communautés agricoles) et les agrovilas (agro-villages), pataugeant dans la boue et avalant la poussière. Elle a écouté les paysans sans-terre raconter leur histoire, mené de multiples interviews, dépouillé les publications du mouvement des travailleurs sans terre (MST). Elle a ensuite traité toute cette matière avec une grande rigueur avant de nous offrir ce livre magnifique, traduit de l’espagnol, qui met en valeur les enseignements d’un mouvement social qui marque déjà très profondément l’histoire plus que millénaire de la lutte des paysans pour la terre : le MST.
2003 – pages
Dans ce cadre, l’AAJ et le CETIM ont contribué activement au débat sur le projet intitulé “Projet de normes sur les responsabilités des STN et autres entreprises commerciales en matière de droits de l’homme”, en organisant des séminaires et conférences, en publiant plusieurs brochures et en présentant de nombreuses déclarations à la Sous-Commission.
Denis HORMAN
2001 – 170 pages
La mondialisation capitaliste ne s’étend pas harmonieusement au bénéfice du plus grand nombre. Les groupes industriels et financiers qui la pilotent, avec l’aval des institutions politiques, pratiquent l’intégration sélective dans le marché “mondialisé”, poussant ainsi plus des deux-tiers de la planète dans la précarité, la pauvreté, le chômage, l’exclusion sociale. La mondialisation excluante n’est pas une fatalité. Il est plus urgent que jamais de résister, de lutter, de construire des alternatives à la “misère du capital”, avec la conviction qu’un autre monde est possible.
Michel Bonnet
1998 – 230 pages
Un livre qui permet de saisir les vrais enjeux du travail des enfants. Dans un chapitre de conclusion, Michel Bonnet propose sa propre lecture, qu’il appelle lecture politique, celle d’un militant engagé dans la lutte contre le capitalisme ultra-libéral actuel. Par là, il invite chacun à critiquer son propre regard et sa solidarité envers les enfants travailleurs.
Susan GEORGE et al.
1998 – 150 pages
Le livre, réunissant les articles des meilleurs chercheurs, resitue l’AMI dans le contexte de la mondialisation capitaliste et montre qu’il n’est pas un accident de parcours.