Exploitation pétrolière, forestière, forages, déchets toxiques. L’irresponsabilité des multinationales dévaste la planète et ses habitant.es.
Depuis plus de 50 ans, le CETIM dénonce la destruction de notre environnement. Il soutient les combats des peuples indigènes et des paysan.nes pour (ré)affirmer leur souveraineté sur :
- leurs milieux de vie
- leurs ressources naturelles
- leur mode de vie et de faire
- face à la mainmise des sociétés transnationales avec l’accord des Etats.
Déchets toxiques
Autres documents et liens
La Colombie souffre depuis plusieurs décennies de graves conflits sociaux, politiques et armés. De nombreuses sociétés transnationales (STN) sont impliquées dans ces conflits d’une manière ou d’une autre, en collaborant avec les forces de sécurité étatiques et privées, de même qu’avec les groupes paramilitaires. Malgré la démobilisation supposée de ces derniers, certains d’entre eux continuent à tuer et à menacer des défenseurs des droits humains. Les STN se rendent non seulement complices des violations des droits humains, mais stimulent également la corruption et minent l’Etat de droit en ne respectant pas la législation nationale et internationale. Cette intervention présente le cas du consortium de STN propriétaires de la mine de charbon El Cerrejón en Colombie.
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L’engouement actuel pour les agrocarburants – appelés à tort biocarburants car ils n’ont rien de biologique – issus de la biomasse (maïs, canne à sucre, colza, etc.) soulève de nombreuses questions : quel est l’impact de ce type de production, basée sur la monoculture et l’agriculture intensive, sur l’environnement (la biodiversité) et les populations locales ? Ces énergies sont-elles réellement une alternative viable au pétrole ? Quelle est aujourd’hui la finalité de la production agricole si elle n’est plus tournée vers la production alimentaire pour les hommes et les animaux ? Qui sont les véritables gagnants de l’essor des agrocarburants ? Cette intervention apporte une série d’éclairage à ces questions et dénonce les mensonges du discours « écolo » tenu par l’industrie automobile et certains Etats.
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L’arrivée de Vicente Fox au pouvoir au Mexique en décembre 2000 n’a pas entraîné les changements tant attendus quant à la reconnaissance des droits et de la culture des peuples indigènes. Le bilan, après seize mois à la tête du pays, est très négatif puisque le Congrès a adopté, en avril 2001, une réforme qui renie totalement les droits des indigènes. Parallèlement au débat sur cette réforme, le Président mexicain, de concert avec les Présidents des Etats d’Amérique centrale, a mis en œuvre un vaste plan de développement (Plan Puebla-Panama) qui affectera durement les indigènes et leur milieu de vie.
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Présenté comme une lutte contre le trafic de stupéfiants pour le renforcement de l’Etat colombien et le retour à la paix et à la prospérité, le ” plan Colombie ” est en réalité une opération militaire. Ses objectifs réels sont d’asseoir l’hégémonie des Etats-Unis d’Amérique sur le continent et, d’autre part, de permettre aux transnationales américaines d’exploiter les richesses de la Colombie sans contrainte d’ordre social ou environnemental, tout en confortant les privilèges de l’oligarchie locale. Cette déclaration dénonce le mépris total manifesté par les autorités américaines et colombiennes à l’égard des droits civils, politiques, économiques, sociales et culturels du peuple colombien.
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Le modèle économique adopté par le Brésil, totalement subordonné au capital financier international, accentue la pauvreté et la concentration des richesses. Dans le monde rural, l’application d’une véritable réforme agraire est la seule solution qui permettrait de remédier à la misère généralisée que vivent les paysans. Le programme mis en place à partir de 1997 sous l’intitulé de ” Cédule de la terre “, appuyé par la BM, ne résoudra pas ce problème. Il va même à l’encontre des intérêts des petits paysans en violant impunément leurs droits et en ne répondant pas aux problématiques locales (présentation du cas de l’Etat du Paraná). Présentation de la pétition internationale ” La terre est beaucoup plus qu’une marchandise ” qui dénonce la stagnation du processus de réforme agraire dans le monde, tout comme la nature des procédures engagées dans la majorité des pays du Sud où ce processus est officiellement mis en œuvre.
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