Nous célébrons cette année le 75e anniversaire de la Déclaration universelle des droits de l’homme (DUDH). Dès le début, une critique a été adressée à cette déclaration: celle de refléter la vision occidentale des droits de l’homme, qui met l’accent sur les droits civils et politiques, et de se focaliser essentiellement sur les droits individuels, ignorant les droits collectifs, en particulier ceux des peuples, des communautés et des minorités.
Lire la suite de l’article de Melik Özden paru dans La Tribune de Genève