Si l’on peut souscrire sans réserve à l’objectif du Sommet de l’Avenir de l’ONU, les 56 mesures adoptées à l’issue dudit sommet, sont au mieux des vœux pieux. En effet, comment les envisager à l’aulne de la polarisation actuelle et celle de l’augmentation vertigineuse des dépenses militaires qui augurent de nouvelles guerres et du peu d’égard de certains États pour le droit international?
Lire la chronique parue dans la Tribune de Genève, signée par Melik Özden