Le CETIM est intervenu une nouvelle fois auprès du Conseil des droits de l’homme afin de dénoncer les récentes violations commises à l’encontre des populations malgaches, particulièrement dans les zones rurales.
Le « coup d’État » perpétré le 17 mars 2009 par Andry Rajoelina (actuel président du pays), alors maire d’Antananarivo, a plongé Madagascar dans un cycle de crises institutionnelles successives, de recul de la démocratie et de l’État de droit. La situation des droits humains ne fait qu’empirer : entre corruption, pillages des biens publics et des richesses naturelles, détentions arbitraires, trafics d’êtres humains, exécutions extrajudiciaires, violations des droits des paysan.nes et accaparement des terres, les droits fondamentaux des citoyen.nes malgaches sont constamment bafoués.
Lire la déclaration orale faite devant le Conseil des droits de l’homme